| | Les fous se précipitent où les anges craignent de poser les pieds » - Négociables [3/3] ; | |
| Auteur | Message |
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Placid D. Tanner
| Sujet: Les fous se précipitent où les anges craignent de poser les pieds » - Négociables [3/3] ; Mer 20 Oct - 18:41 | |
| - Citation :
© THE GOLDEN FISH & © LIVIA JUDE L. TANNER ; ♥♥♥
NOM : Tanner PRENOM(S) : Jude, Lauréna AGE : 19 ans GROUPE : Texans CITATIONS : Il arrive quelquefois des accidents dans la vie d'où il faut être un peu fou pour se bien tirer. » ; François de La Rochefoucauld (facultative)
EXPLICATIONS : Jude est une jeune femme très indépendante, qui n’a pas peur de l’inconnu. Rebelle et qui ne manque pas de ténacité dans ses choix, elle a rejoint son frère aîné au Texas alors que celui le lui avait formellement défendu, jugeant la situation suffisamment trop compliqué pour qu’elle ne s’en mêle. Jude considère Placid comme un modèle, elle aspire à suivre ses traces, même dans ses écarts. Tout deux sont très complices, malgré leurs nombreuses prises de becs sans doute dû à une franchise héréditaire, et bien que Placid essai de là protéger au mieux, bien souvent il s’avère que c’est elle qui le sauve. Contrairement à leurs parents qui semblent indifférents et ceux d’Anna qui s’y sont clairement opposés, Jude apprécie de savoir Placid avec Anna Belaski et, si elle est ici, c’est parce qu’elle s’est donné pour but d’aider son frère à sortir Anna de cet hôpital psychiatrique. Elle non plus ne croit pas qu’elle soit folle, et son frère ne le sait pas encore mais c’est grâce à l’originalité dont use et abuse Jude que les journalistes sont tenus à l’écart de cette affaire, car elle sait que si quelqu’un venait à révéler que Placid est fiancé à l’une des patientes d’Heavensfield, il serait mis à la porte sur le champ et n’aurait plus la possibilité de rester près d’Anna. PRECISIONS : Jude appelle Placid tous les soirs, même si celui-ci se montre moins avenant depuis qu’il là sait au Texas, car il espère là faire changer d’avis, même s’il là connait trop bien pour savoir qu’il n’y parviendra jamais. Lors de leur dernière conversation téléphonique, très fière d’elle, Jude a annoncé à son frère qu’elle était parvenue à se faire engager entant que bénévole, à Heavensfield, amadouant les dirigeants de l’établissement en leur présentant toutes les missions caritatives que sa mère a faite et en leur soulignant le fait qu’elle désirait suivre ses traces, même s’il n’en n’est rien. AVATAR SOUHAITE : Miranda Kerr, négociable.
RENVOI A LA FICHE DE PRESENTATION DE PLACID D. TANNER ; N'hésitez pas à me Mpotter en cas de besoin
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| | | Placid D. Tanner
| Sujet: Re: Les fous se précipitent où les anges craignent de poser les pieds » - Négociables [3/3] ; Ven 22 Oct - 22:39 | |
| - Citation :
© STELLA & © BRITISH TOUCH JERRY R. LAWRENCE ; ♥♥♥
NOM : Lawrence PRENOM(S) : Jerry, Reid AGE : 24 ans DIAGNOSTIC : Kleptomane, alcoolique (dernier critère négociable) GROUPE : Patients de l'asile CITATION : Il n'y a peut-être rien de si fou que de croire avoir toujours raison. » ; Voltaire (facultative)
EXPLICATIONS (RP) :
- Spoiler:
Dans la matinée, alors que Placid prenait ses marques pour son deuxième jour de travail au sein d’Heavensfield, l’aile B s’était révélé être le « bon endroit au bon moment » ; un étrange homme au teint blafard, dont les mains étaient si frêles qu’on se demandait bien comment il parvenait à déplacer les pions du jeu d’échec sur lequel il s’attelait, murmurait dans un automatisme récurent : « Je veux voler, dérober, subtiliser, chaparder, chiper ; je veux voler, dérober, subtiliser, chaparder, chiper ; je veux.. ». Sans quitter l’homme des yeux, Placid se pencha légèrement en direction d’un aide soignant qui préparait, sur un chariot roulant réhaussé d’une tablette, la première tournée de médicaments de la journée, spécifiques aux pathologies développées chez les patients de cet aile de l’hôpital, et lui demanda doucement : PLACID – Est-ce que tout va bien avec ce patient, là-bas ? » AIDE-SOIGNANT - Jerry Lawrence, kleptomane alcoolique, il va falloir vous y habituez, ici c’est lorsque tout semble aller trop bien que ça ne va plus ! »Placid lui adressa un bref regard compréhensif avant de s’avancer vers le patient qui attirait manifestement toute son attention. Il fallait qu’il réfléchisse. Cet homme était kleptomane, c’est-à-dire que l’envie de voler était chez lui maladive. Or, il avait du voler souvent, dans sa vie, et devait de ce fait avoir une certaine habileté en ce qui concerne cette besogne. De plus, si pour une fois il obtenait satisfaction, se serait pour la bonne cause. Placid s’assit sur un petit tabouret d’enfant pour faire face au patient duquel il n’était plus séparé que par une table basse où se trouvait l’échiquier. Prudemment, afin de ne pas le froisser pour garder intactes ses chances qu’il coopère, Placid entama la discussion, jusqu’à en venir subtilement au fait :(…) PLACID – Sympas, votre jeu d’échec. Si vous l’avez volé, c’est vraiment une grosse prise. »Le malade, qui jusque là n’avait pas détaché son regard du jeu, le considéra vivement, une lueur assoiffée reprenant soudain vie dans le fond de ses yeux d’un marron obscur. Imitant l’intonation de Placid avec fierté, comme pour lui témoigner du fait qu’il comprenait son secret, que lui aussi ne vivait que pour voler, et que les aides soignants ne devaient rien en savoir, il dit à voix basse :JERRY - Je peux voler mieux que ça. » PLACID - Ah, oui ? Je ne vous crois pas, je suis sur que je fais mieux que vous ! » JERRY - Vous voulez que je vous le prouve ? Se serait notre petit secret, personne ne vole mieux que moi, il faut me croire, personne ne peut.. personne n’a le droit de voler mieux que moi ! J’adore voler mais ici ils ne veulent pas que je vole, ils disent que je suis fou ! Laissez-moi voler et nou.. nous deux, nous serons copains pour toujours, et je leur dirais pas que vous aussi vous volez, compris ? » Placid hésita un instant face à cet homme qui lui faisait désormais l’effet d’un enfant ne comprenant pas très bien ce qui lui arrive, sauf que c’est mal de voler et qu’il risque d’être puni pour ça. Qu’est-ce qui lui garantissait qu’il n’allait pas révéler leur éventuel marché aux autres membres du personnel, une fois qu’il aurait le dos tourné ? Placid considéra là proposition, et se souvint qu’il était là pour Anna et que pour elle, il ferait n’importe quoi, mais que pour cela, il devait savoir ce qu’on lui reprochait, il devait tout savoir, ne rien laisser de côté, jamais, pour être sûr de tout tenter pour elle, pour leur amour, pour là sortir de là. Placid planta son regard dans celui de Jerry, le patient dont il avait appris le prénom au cours de leur conversation :PLACID - Entendu, Jerry. Vole le dossier d’Anna Belaski, se sera notre petit secret, et en échange, je dirais à tout le monde que tu es le meilleur voleur qu’ait jamais connu cette Terre ! » Une telle reconnaissance fit passer une once de démence sur le visage de Jerry qui, sitôt que l’aide soignant s’approcha d’eux pour faire avaler au malade son médicament, retomba dans sa réserve, non sans feindre un petit sourire en direction de Placid qui fit mine de ne rien y comprendre afin de ne pas éveiller les soupçons. PRECISIONS : Comme vous avez du le comprendre, Placid s'est servi de la pathologie de Jerry pour retrouver le dossier d'Anna et ainsi savoir quel diagnostic les médecins ont fait à son sujet, diagnostic dont il soupçonne grandement la falsification en échange d'une somme d'argent, sans pour le moment en comprendre beaucoup plus au sujet de l'internement soudain d'Anna. Jerry serait incapable de dénoncer Placid car, premièrement on aurait du mal à le croire sans preuves, deuxièmement on signalerait une rechute du patient qui ne jouerait pas en sa faveur, et troisièmement, parce que là reconnaissance de la part de Placid, concernant son talent pour le vol, est un honneur dont il ne pourrait se priver. Ainsi, le patient est intimement convaincu que tous les deux se comprennent et que Placid est lui aussi kleptomane, un kleptomane qui garde le secret sur sa pathologie pour ne pas se retrouver à sa place. Jerry espère toujours que Placid lui demande de voler d'autres choses, car il ne peut se passer de cette addiction pour se sentir utile. AVATAR SOUHAITE : Matthew G. Gubler, négociable, si vous respectez la description physique de Jerry.
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Dernière édition par Placid D. Tanner le Lun 25 Oct - 18:58, édité 13 fois |
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| Sujet: Re: Les fous se précipitent où les anges craignent de poser les pieds » - Négociables [3/3] ; Dim 24 Oct - 23:20 | |
| - Citation :
© DOOMSDAY & © ACP ED J. GUILMORE ; ♥♥♥
NOM : Guilmore PRENOM(S) : Ed, Jim AGE : 57 ans PROFESSION : Surveillant vidéo GROUPE : Equipe médicale CITATION : Suis moi, je t’emmènes là où le fou est roi (...) », paroles de la chanson Je suis moi ; Shy'm (facultative)
EXPLICATIONS : Lui aussi vidéo surveillant, Ed est veuf depuis dix ans, elle était son seul amour de sa vie, sans doute pour cela qu’il ne ressent pas le besoin de se remettre avec quelqu’un. Cela ne fait pas pour autant de lui quelqu’un de dépressif ou de solitaire, au contraire, il est un homme bon qui a su profiter de sa jeunesse, une expérience dont il tire sa sagesse, son calme et sa compréhension des autres. Ed vous dira toujours que chacun de nous a en lui une part de bon, mais qu’il faut parfois là chercher, et que tous le monde a le droit à sa seconde chance, et même à une troisième, s’il le faut ; il aide qui il peut, passe dans votre vie et s’efface quand il le faut, espérant toujours que son intervention, plus ou moins importante, aura eu un impact dans votre existence. C’est sans doute pour toutes ces raisons qu’après la disparition de sa femme, Ed est venu travailler à Heavensfield, car dans cet endroit, trop d’âmes ont besoin d’êtres apaisées. Il ne croit pas franchement que des gens puissent être fous, il pense plutôt qu’ils sont perdus, ou alors qu’ils ont compris le monde mieux que tous les autres et que c’est de ça qu’on les accuse. On craint ce que l’on ne comprend pas. PRECISIONS : Très observateur, il ne lui faut, en général, que très peu de temps avant de connaître le défaut principal de quelqu’un ou le but qu’il poursuit, c’est ainsi qu’il a brisé la glace entre son collègue Placid et lui. Il a tout de suite compris que le jeune homme n’était pas là par hasard mais pour la jolie Anna Belaski. De fil en aiguille, Ed a montré à Placid qu’il pouvait avoir confiance en lui, de cette manière Placid lui a confié tout ce qu’il sait, car sans quelqu’un comme Ed, il ne pourrait pas se décharger de la pression qui l’accable et passerait lui aussi pour fou. Bien souvent, Ed essait du mieux qu'il peut de désamorcer les tensions existantes entre collègues, car le travail qu’ils exercent n’est pas toujours évident à gérer. Le vieil homme restera muet comme une tombe, concernant l’histoire de Placid, et démentira toujours un quelconque lien entre Anna et lui si d’autres venaient à soupçonner leur relation. AVATAR SOUHAITE : Alan Rickman, négociable tant que l'âge du personnage est savamment pris en compte.
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